quarta-feira, 16 de dezembro de 2009

19. L’étranger

J'avais lu une version en portugais de « L'étranger » trois ans avant, raison pour laquelle je ne pense pas que ce livre a été le premier que j'ai lu en cette belle langue latine (cette place appartient à « Le comte de Monte Cristo ») . Tous les mots que je vais ecrire ici sur l'oeuvre certainement sont le resultat des choses que j'avais connu dans la première lecture.

Je pense que L'étranger est un piège d'Albert Camus. L'écrivain nous fait voir le monde dans l'avis du protagonist, Mersault; l'histoire est conté de façon que on peut penser que son jugement n'a pas été fait de manière juste parce que il paraît être condamné moins pour l'assassinat qu'il a commit que pour le fait que il n'a pas pleuré dans l'enterrement de sa mère.

En verité, malgré-nous nous sommes conduit a penser moins sur l'arabe qui est tué de façon lâche que dans sa mère abandonée dans l’asile de vieillards, et qui meurt sans reçoit une seule larme de son fils. Ou encore pire: nous sommes conduits a penser sur le condamné à guillotine comme une victime du systeme, une espèce de Franz K. C'est comme se nous nous oublions qu'il a tué un homme froidement, sans raison aucune.

[Ce texte a été revisé par mon ami et professeur Antony Devalle.]

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